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La tour lanterne
Suite aux bombardements anglais de juin et septembre 1944, l'église néogothique de 1873 est totalement détruite. Auguste Perret a la charge de la reconstruire.
Dessinés avec Raymond Audigier, les plans de la nouvelle église sont fortement influencés par les 2 hommes, l'un athée, l'autre très religieux
Elle fut achevée en 1957, après la mort de l'architecte.
Auguste Perret souhaitait qu'elle soit un monument consacré à la mémoire des victimes de la guerre, visible depuis le large. Sa tour lanterne culmine à plus de 1OO mètres de hauteur et reste visible à plus de 60 km au large.
Dessinés avec Raymond Audigier, les plans de la nouvelle église sont fortement influencés par les 2 hommes, l'un athée, l'autre très religieux
Elle fut achevée en 1957, après la mort de l'architecte.
Auguste Perret souhaitait qu'elle soit un monument consacré à la mémoire des victimes de la guerre, visible depuis le large. Sa tour lanterne culmine à plus de 1OO mètres de hauteur et reste visible à plus de 60 km au large.


La tour lanterne
C'est avec les meilleures techniques modernes de l'époque et avec les qualités du béton armé qu'elle a été conçue. Elle conserve cependant légèreté et finesse.
Elle est inscrite au titre des monuments historiques le 11 octobre 1965.
Elle est inscrite au titre des monuments historiques le 11 octobre 1965.


La tour lanterne
Sobriété et rudesse au service au service de la spiritualité.


La tour lanterne
Pureté structurelle et noblesse architecturale.


La tour lanterne


Façades extérieures


Façades extérieures


Vue depuis la digue Nord


Vue d'ensemble


Fronton


Vue depuis la plage


Structure intérieure
Bâtiment à la structure complexe, d'une superficie de 2 000 m2, ses fondations ont été savamment étudiées et reposent sur 71 pieux de compression « système Franki » d'une longueur de 15 m tandis que les 16 piliers qui soutiennent l'édifice reposent sur des puits tubés de même longueur et de 1,45 m de diamètre réunis par groupe de quatre au niveau du sol par une semelle de béton de 6,5 m2 et 2 m d'épaisseur.


Structure intérieure
Les bracons en V soutenant la tour-lanterne.


Structure intérieure
Les groupes de piliers


Structure intérieure
Détail des piliers


Structure intérieure
Les groupes de piliers


Structure intérieure
Les groupes de piliers et leurs croix de Saint-André.


Structure intérieure
Zoom sur les croix de Saint-André.


Structure intérieure
Zoom sur les croix de Saint-André.


Structure intérieure
Ce n'est qu'après avoir franchi le seuil de l'église Saint Joseph que vous êtes saisi par la beauté que dégage "l'accouplement" entre le béton armé et les multiples facettes des vitraux multicolores.


Pilier de structure
Zoom sur un des piliers de la structure


Intérieur de la tour lanterne
Le puit de lumière de l'intérieur de la tour lanterne.
Marguerite Huré, maître-verrier réalise les 6500 vitraux géométriques de couleur blanche à l'extérieur et déclinés à l'intérieur en sept couleurs. Couleurs variant des plus sombres à la base, aux plus claires au sommet.
Marguerite Huré, maître-verrier réalise les 6500 vitraux géométriques de couleur blanche à l'extérieur et déclinés à l'intérieur en sept couleurs. Couleurs variant des plus sombres à la base, aux plus claires au sommet.


L'escalier hélicoïdal
Le puit de lumière en matinée au mois d'août. Vue de l'escalier hélicoïdal de la tour-lanterne.


Intérieur de la tour lanterne
Vue intérieur du sommet


Sous la tour lanterne
Levez les yeux et admirez la dimension architecturale de l'édifice. Ici le béton est décliné sous des nuances et des tons insoupçonnés, magnifiés par les vitraux qui cohabitent avec lui.
Eglise Saint-Joseph du Havre
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